Tribune des groupes

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Trois ans d’action à vos côtés


En 2020, la gauche, les écologistes et les citoyens s’unissaient pour créer le Printemps Marseillais. Un mouvement sans précédent pour répondre aux urgences de Marseille, pour refuser la fatalité.

Un mouvement pour proposer une alternative au laisser-aller de la précédente majorité sans ambition et sans envie pour les Marseillaises et les Marseillais.


Pendant des mois des citoyens ont travaillé sur un programme, celui du Printemps Marseillais, pour changer la ville au quotidien et répondre aux problématiques concrètes des habitants.

Agir pour une ville plus juste, plus verte, plus démocratique et plus sûre.
Ce document, c’est celui des premières réalisations. Les 80 pages et les centaines d’actions démontrent que la volonté est intacte et que le projet est suivi.


Chacune des réussites vient démontrer que nous n’abandonnons rien de nos engagements, et des promesses que nous nous sommes faits en 2020 : Marseille ne doit plus subir.

C’est le cas lorsque notre maire arrache un plan inédit pour répondre à la honte de l’état des écoles de Marseille, et en faire des modèles à l’échelle de la France.


C’est encore le cas lorsque nous formalisons des engagements inédits sur le logement, que nous envoyons à la justice ces marchands de sommeil que nous avons si longtemps dénoncés.


L’impunité n’est plus de mise, et nous ne les laisserons plus faire. C’est encore le cas lorsque nous agissons pour augmenter massivement les politiques de solidarité qui ont longtemps été mise au placard par une droite sans humanité, que nous recrutons enfin des policiers municipaux face à une droite qui se contentait de communiquer, que nous agissons pour rouvrir les parcs et jardins, les lieux de vivre ensemble, face à une droite qui les fermait les uns après les autres.


D’ailleurs, c’est avec une même volonté que nous portons les demandes des Marseillaises et des Marseillais en matière de propreté et de transports, deux compétences qui sont encore aux mains d’une droite locale sans volonté pour notre ville.


Le Printemps Marseillais a ouvert les portes de la Mairie aux habitantes et aux habitants, a contribué à redonner de la fierté en réussissant la où beaucoup prédisaient l’échec : accueillir de grands évènements, obtenir enfin une juste contribution de la part de l’État, ouvrir du service public et remettre la culture au centre de la ville.
Partout où nous pouvons agir nous le faisons avec la même volonté : répondre aux défis qui nous ont poussés à nous engager pour une ville que nous aimons et pour laquelle nous nous battons.


Ce combat, nous continuons de le faire aux côtés des habitants, dans le cadre d’une Mairie qui écoute davantage, concerte plus et mieux. Dans tous nos secteurs les habitants sont amenés à se prononcer sur les projets qui les touchent.


Ce combat, nous le faisons avec un capitaine qui se bat pour Marseille, et avec une équipe qui œuvre pour l’intérêt général. Nous en sommes au début, mais déjà nous pouvons le dire : Marseille est de retour !

Seul le travail compte !


Qu’on soit né ici ou qu’on l’ait choisie, Marseille passionne.


Comme toutes les passions, elles sont exigeantes, impatientes et spontanées. Avec le maire de Marseille, Benoit Payan, nous aimerions que tout change vite et fort mais ce que nous faisons prend du temps.

Nous ne construisons pas uniquement la ville de demain, il nous faut aussi répondre aux urgences du quotidien dans une ville en mouvement permanent.

Rétablir l’égalité et le dialogue partout à Marseille, c’est la mission que nous nous sommes donnés autour de Samia Ghali. Notre volonté de transformer la ville, elle se traduit dans le travail que nous accomplissons au quotidien.


Marseille a toujours eu du potentiel, elle est désormais fiable. Nous avons passé trois ans à travailler les dossiers sans excès de communication. Si les premiers résultats sont déjà visibles, dans les prochains mois, notre action changera la face de la ville, avec des écoles modernes, des piscines neuves, onze cités entièrement rénovées et une extension du tramway vers le nord.


Vos attentes sont aussi grandes que la passion qui nous anime toutes et tous pour notre ville. Tourner la page de 25 années de dénis, de routine et d’inertie n’est pas aisé, nous posons au quotidien les pierres d’une ville nouvelle plus apaisée, plus sécurisée, plus solidaire et plus harmonieuse.

Agir pour Marseille

Depuis juin 2022, le groupe écologiste et pluriel-s a articulé urgences sociales et urgence climatique. Grâce au label des 100 villes européennes décarbonées dont Marseille est lauréate, la cité de la transition, l’assemblée citoyenne du futur, le groupe construit, avec les citoyens, les outils de la transition écologique, guidé par la justice.


Il développe les activités maritimes, protège le littoral et la biodiversité marine. Il œuvre pour la qualité alimentaire, avec les fermes urbaines, dans les quartiers populaires. Il lutte contre la violence, le racisme et les discriminations avec l’ouverture du Centre interassociatif LGBTQIAP+, en faveur de la prévention avec la commission mineurs.


Il se mobilise contre punaises de lit et nuisibles, avec des dispositifs d’alerte, une mise à disposition de matériel, le recours aux furets, soucieux de dignité animale.


Il a mis de l’ordre dans les règles d’urbanisme et relancé la construction de logements sociaux. Il agit.

Trois ans d’abandon de Marseille


Quelles réalisations, quels projets aboutis sont à mettre au crédit de la majorité municipale à ce jour ? La réponse est simple et sans appel :

aucun.


Au contraire, elle s’est attachée à détruire et déconstruire de façon dogmatique tout ce que Marseille avait de positif.
Comme l’a fait la Nupes à Bordeaux, Lyon ou Paris, elle a transformé notre ville de la pire des façons.

Les médias nationaux en viennent à faire leur Une sur son insécurité et sa dégradation croissante, titrant même «Faut-il quitter Marseille» ?


C’est la question que se posent malheureusement de nombreux habitants de notre ville face aux graves conséquences de l’inaction d’un maire qu’ils n’ont pas élu.


Plus que jamais, Marseille est un carrefour d’inégalités et de misère sociale. La ville plus verte et plus juste promise n’existe pas, le maire refuse la modernisation du métro ou la construction d’une ligne de tramway vers les Catalans, bloque le prolongement du boulevard Urbain Sud, ne construit pas les écoles promises, se disperse en actions de communication et empêche notre ville de se développer.


Naturellement, les acteurs économiques tirent la sonnette d’alarme, inquiets face à cette majorité municipale à la peine lorsqu’il s’agit de dynamiser le centre-ville et ses artères commerçantes.

Ce n’est pas en laissant des rues emblématiques se dégrader progressivement que de nouvelles enseignes s’y implanteront. Ce n’est pas non plus en critiquant vertement les acteurs du tourisme que de nouveaux voyageurs s’y arrêteront.


Nous avons rencontré les restaurateurs et les hôteliers. Ils sont unanimes : depuis trois ans, un réel déclin s’est amorcé. À force de dénigrer ceux qui font vivre Marseille, la Nupes a entravé le dynamisme commercial dont notre ville doit bénéficier pour rayonner.


En matière de sécurité, nous faisons le même constat. Alors que la majorité municipale a eu trois ans pour agir, les Marseillais ont plus que jamais peur en raison de l’insécurité réelle qui règne désormais en ville.

Où sont les effectifs de policiers municipaux supplémentaires ? Où sont les nouvelles caméras de vidéosurveillance ? Le maire avait pourtant le temps et les moyens d’agir.


Il n’a au final rien fait et nous nous interrogeons réellement sur la capacité de cette majorité à redresser la barre. Prendra-t-elle enfin conscience que les Marseillais ont besoin de sécurité, de tranquillité et de sérénité dans leur ville ?

En tant que premier groupe d’opposition, nous sommes et serons encore au quotidien à votre rencontre sur le terrain, à l’écoute des acteurs associatifs, des commerçants, des entrepreneurs, des collectifs de riverains, des Comités d’intérêts de quartiers…


Beaucoup partagent ce sentiment que Marseille est sur la mauvaise pente, que Marseille décline… Il reste trois ans à cette majorité pour enfin agir et prendre conscience de la gravité de la situation.


Nous y veillerons et nous continuerons à vous défendre !

Un mandat pour rien Quand on lui demande où en sont les dossiers prioritaires, la municipalité s’agace.


La sécurité ? «C’est pas nous », alors que le Maire a stoppé le développement de la vidéo-surveillance. Les logements ?


«C’est pas nous » alors qu’il en avait promis 30000, amenant l’État à envisager de placer la ville sous tutelle pour carence. Les transports ? «C’est pas nous », alors qu’il bloque la poursuite du Boulevard urbain sud, un exemple parmi tant d’autres...

Les propriétaires, eux, payent le prix fort d’un mensonge électoral avec la hausse de 14% de la taxe foncière.


Heureusement, l’État est là avec «Marseille en Grand» pour améliorer les conditions de vie des Marseillais.
La Mairie n’est pas au rendez-vous de cette ambition : pour l’heure, c’est un mandat pour rien

La tribune n’a pas été transmise..

La tribune n’a pas été transmise.